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Certaines promotions proposées dans les supermarchés ne sont plus légales. Depuis la promulgation de la loi Egalim le 1er novembre 2018, de nombreuses règles ont changé. Les enseignes ne disposent plus de la même marge de manœuvre pour promouvoir leurs produits et elles sont désormais surveillées.
Ces promotions sont contrôlées par La Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) qui publie le 16 janvier 2020 un rappel sur les possibilités et interdictions des enseignes de supermarchés. Depuis la nouvelle loi, le terme "gratuit", ainsi que ses synonymes, sont interdits dans tous les rayons. Désormais, une promotion ne doit pas représenter plus de 34 % de la valeur du produit si elle veut être valide. Les annonces de type "un acheté, un offert" sont par conséquent bannies des rayons, puisqu’elles représentent 50 % de remise.
Promotions sur les produits bientôt périmés
La DGCCRF précise également que ces promotions ne sont pas non plus autorisées avec un produit équivalent à celui acheté : "A titre d’exemple, deux bouteilles de champagne, qu’il soit brut, demi-sec ou doux, blanc ou rosé, un foie gras entier et un bloc de foie gras, des blancs de poulet et des cuisses de poulet, sont considérés comme des produits similaires". En effet, certaines enseignes ont essayé de contourner la nouvelle loi en proposant un article équivalent en réduction.
Les seuls produits qui échappent à cette règle des 34% sont les articles dont la date de péremption approche. L'objectif de la loi étant d’arriver à une alimentation plus saine et plus responsable, les produits bientôt périmés sont mis en avant pour éviter le gaspillage. Ainsi, les promotions habituelles sont autorisées seulement si elles portent “sur des produits périssables dès lors qu’ils sont menacés d’altération rapide” précise la DGCCRF.