Chaque fin d’année, Google dévoile son classement des dernières tendances de recherche en France et dans le monde. Tour d'horizon des sujets qui ont marqué l’année 2024 en France.
Plus difficile d’en sortir que d’y entrer ? Quelques mois après la fin de leur mandat à l’Assemblée nationale, des députés sortants se sont confiés sur les épreuves qu’ils traversent à BFM. Après la fin de la XVIe législature, ce sont plus de 120 députés qui n’ont pas retrouvé leur place dans l’hémicycle, soit parce qu’ils ne s’étaient pas représentés, soit parce qu’ils n’ont pas été réélus. L’occasion de se pencher sur le sort de quelques-uns d’entre eux (voir ci-dessous).
Situations variées
“"Moi, j'ai compris que j'étais en train de faire une dépression. Ce passage du trop-plein d'activité à presque rien est très difficile”, explique une ex-députée dont le nom n’est pas divulgué au site de la chaîne d’information. Elle indique avoir demandé “de l’aide à un médecin”.
Certains de ses confrères et consœurs ont retrouvé leur fonction précédente ou bien de nouvelles. A l’instar de celui des anciens ministres, leurs carnets d’adresse peut-être considéré comme un avantage.
D’autres ont pu s’inscrire comme demandeurs d’emploi. Certains font état de réticences de la part des employeurs potentiels de les embauches, ces derniers craignant qu’en cas de nouvelle dissolution, leurs éventuelles recrues soient tentées de se représenter.
Les indemnités prévues
Le règlement de l’Assemblée nationale prévoit qu’ils aient accès à une allocation d’assurance mutuelle de retour à l’emploi après la fin de leur mandat n’ont pas encore droit à la retraite et cherchent un poste. Son montant est actuellement de 4 353,31 euros brut par mois soit 57 % de l’indemnité parlementaire. Pour l’obtenir, ils doivent avoir cotisé pendant au moins 6 mois et leur indemnisation dure au moins 18 mois (avec des aménagements pour les personnes âgées de 53 ans et plus).
Ce trombinoscope vous présente quelques exemples de ces personnalités passées par l’hémicycle.