De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Un logement qui respecte l'environnement, c'est possible ! Le site Se Loger vient de publier une étude sur la qualité du parc énergétique français. La première étude de ce genre, rapelle Capital.
La moyenne nationale laisse cependant à désirer. Celle-ci atteint 250 kilowattheures par mètre carré (kWh/m²), ce qui la place dans la catégorie E. La catégorie F étant intitulée "passoire thermique", l'hexagone peut encore mieux faire.
L'outil employé pour cette étude, le Diagnostic de performance énergétique (DPE), mesure les capacités d’isolation thermique et la consommation en énergie des logements. Ce mécanisme doit être utilisé pour toute transaction immobilière depuis 2007. Il renseigne en effet les acquéreurs ou locataires sur les factures de gaz et d'électricité qu'ils auront à payer. Le DPE a toutefois été critiqué pour son manque de fiabilité.
Performance énergétique : le Sud de la France bon élève
Mais quelles sont les villes françaises qui s'en sortent le mieux ? Le Sud de la France semble tirer son épingle du jeu. Toulon arrive ainsi en tête du classement avec 145 kWh consommés par an et par mètre carré d’habitation, ce qui place la ville en catégorie C.
Les deuxièmes et troisièmes places du podium sont occupées par Montpellier (161 kWh/m²) et Toulouse (166 kWh/m²), toutes deux classées D. Viennent ensuite Bordeaux et Marseille, toutes deux à 171 kWh/m².
Dans les dernières places du classement, on trouve sans surprise Paris, éternelle mauvaise élève, avec 242 kWh/m² par an. La Ville lumière est suivie de Lille et de Reims, toutes deux à 226 kWh/m², puis par Rouen et Amiens (223kWh/m² chacune).