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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Selon une enquête TNS Sofres pour Axa Prévention parue ce mardi, 41 % des automobilistes déclarent se sentir en "insécurité" sur les réseaux secondaires. S'ils se disent plutôt en sécurité sur l'autoroute, ils sont beaucoup moins enthousiastes à propos des départementales et des nationales.
Au total, 86% des sondés dénoncent le comportement des autres conducteurs, le manque d'entretien des infrastructures ainsi que la mauvaise signalisation des zones dangereuses. "Les départementales et nationales concentrent de fait 64 % du nombre de décès", souligne Emmanuel Barbe, le délégué interministériel à la Sécurité routière. "Sur ces axes où se croisent poids lourds et voitures, les chocs sont souvent frontaux et les automobilistes y ont tendance à rouler plus vite qu'ailleurs", souligne-t-il.
En effet, 25% des automobilistes avouent rouler à 120 ou 130 km/h au lieu des 90 km/h indiqués.
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Les comportements à risques continuent
Plus grave, 4% des conducteurs admettent reprendre le volant après avoir bu quatre ou cinq verres d'alcool. La moitié des personnes interrogées continue également à téléphoner ou envoyer des SMS au volant. Enfin, près de 40 % des sondés avouent rouler à 65 km/h en ville.
Pour Chantal Perrichon, la présidente de la Ligue contre la violence routière, la vitesse reste un problème très important. Elle appelle donc à un abaissement de 90 km/h à 80 km/h sur le réseau secondaire.
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