![Législatives 2024 : quelle serait la stratégie du RN en cas de victoire ?](/files/styles/pano_m/public/images/article/7/2/5/2966527/vignette-focus.jpg?itok=1puN7slI)
A l’approche du second tour des législatives qui aura lieu le dimanche 7 juillet prochain, Marine Le Pen s’est exprimée. En cas de victoire et en cas de major, elle affirme qu’elle ne ferait pas partie du...
A quoi ressemblera le Palais Bourbon après le 7 juillet ? Avant même le premier tour du scrutin, le jeu des pronostics visait à dégager une composition possible de l'Assemblée nationale. Le vote du 30 juin devrait permettre de les affiner.
Il ne s'agit bien entendu que de projections, réalisées à partir d'estimations réalisées à la "sortie des urnes". Leurs traductions en projection de sièges seraient "très, très fragile", donc à manier avec des pincettes, ont prévenu plusieurs instituts de sondage auprès des "Décodeurs", du Monde.
La situation se révèle en effet d'autant plus incertaine qu'un nombre record de triangulaires est prévu - de 290 à 320. A cela s'ajoute le fait que les désistements éventuels et/ou l'impact réel des consignes de vote sont bien entendu inconnus.
Reste que les projections en nombre de sièges, aussi incertaines soient-elles, permettent de visualiser une tendance à un instant spécifique.
Par ailleurs, un certain nombre de sièges sont certains d'être occupés, leurs élus ayant été désignés dès le premier tour. Ils sont 65 à 85 dans cette situation, selon une estimation Ipsos-Talan pour France Télévisions, Radio France, France 24, RFI et LCP. C'est le cas de Marine Le Pen dans le Pas-de-Calais, d'Olivier Faure (NFP-PS) en Seine-et-Marne, de Julien Odoul (RN) dans l'Yonne, ou encore de Martine Froger (NFP-PS) dans l'Ariège.
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