L’année 2024 s’achève, laissant derrière elle un paysage politique marqué par des choix forts, qui ont particulièrement touché les seniors, entre réformes sociales, gouvernement en chute libre, avancées...
Mettez dans un grand sac des remaniements, des élections européennes, une dissolution de l'Assemblée nationale suivie d'élections législatives anticipées, la censure du gouvernement qui en découle puis la nomination d'un nouveau, le tout sans budget voté pour 2025 et avec un déficit qui dépasse de loin les prévisions les plus pessimistes.
Secouez le tout et vous obtenez des dizaines de phrases d'anthologie prononcées face caméra ou en "off", de l'extrême gauche à l'extrême droite. Hommes et femmes politiques habitués aux joutes verbales inhérentes à la fonction comme nouveaux venus se sont lâchés tout au long de l'année 2024. Le président de la République Emmanuel Macron lui-même s'est récemment illustré en se rendant à Mayotte dévastée après le passage du cyclone Chido.
Des punchlines ordurières : de l'animosité même entre politiques du même camp
Les changements fréquents et la tension permanente, qui s'est accentuée un peu plus à l'approche des fêtes, ont mis en avant les "désamours", pour rester courtois, qui peuvent exister entre élus du même bord, ou la vulgarité employée par certain(e)s ministres ayant déjà quelques casseroles à traîner.
Aucun groupe parlementaire ou presque n'est épargné comme évoqué. Le comportement des députés, notamment de La France Insoumise, qui était déjà pointé du doigt depuis leur arrivée en force à l'Assemblée, ne s'est pas amélioré. Mais ils ne sont pas les seuls, loin de là, à y provoquer des remous, sur les sièges comme dans les couloirs.
Découvrez dans notre diaporama ci-dessous un florilèges des pires, des plus drôles ou des phrases les plus cyniques entendues ou rapportées par des sources fiables depuis le début de l'année.