De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Une variété incommensurable de paysages et d’animaux sauvages... La brousse australienne regorge de richesses. Si le pays vous intéresse, alors cette période estivale est propice pour un aller sans retour. A l'occasion d'une loterie immobilière, une grande demeure accompagnée d'une pension animalière est à gagner jusqu'au 24 septembre prochain. Le billet de loterie est de 34 euros mais seulement 40 000 tickets sont en vente.
Le bien est estimé à 940 000 euros. Il est situé à 25 minutes de la ville de Townsville (Queensland), dans le nord-est du pays. A noter que le domaine possède pas moins de quatre chambres et deux salles de bains, ainsi que d'une pension pour animaux de compagnie.
Une propriété et une entreprise
Ce n’est pas tout, le vainqueur recevra un chèque de 18 500 euros (30 000 dollars australiens) rapporteLe Figaro. En effet, la propriété proposée par Natalie Giumelli, mère de deux garçons, accueille une entreprise. En effet, la structure pour animaux de compagnie est une firme "entièrement gérée et rentable". C'est la raison pour laquelle, elle ne souhaitait pas vendre le lieu de façon traditionnelle, précise le communiqué de la loterie. La maman explique dans son communiqué de la loterie : "c’est l’opportunité d’une vie pour se lancer dans une nouvelle expérience sans avoir à s’endetter".
Une affaire vraiment juteuse ?
Il est vrai que si le but de ces loteries permet d’avoir un bien immobilier à moindre coût, la désillusion est souvent au rendez-vous. En effet, il n’est pas sûr qu’à la clé, la propriété soit si facile à obtenir. Le figaro stipule que les chances que cette opération aboutisse restent faibles. Ce type de loterie existe énormément dans les pays anglo-saxons, avec au bout, très souvent, une immense déception. "Entre vendeurs peu scrupuleux, problèmes juridiques et ventes de tickets trop faibles, la plupart de ces concours ne débouchent que sur la remise de quelques lots secondaires" dénonce Le Figaro.
Alors à ceux qui veulent tenter le pari en connaissance de cause, c’est maintenant qu’il faut se lancer.