Le président russe Vladimir Poutine agite à nouveau la menace nucléaire. Dans ce contexte, peut-être vous interrogez-vous sur les forces nucléaires en présence dans le monde. Voici des éléments de réponse....
Au moment du paiement, qui n'a jamais vu monter le stress... Pour de multiples raisons : carte muette, paiement refusé, code erroné... Il arrive même que l'on ne connaisse pas la raison. Ou dans le pire des cas, un piratage.
Elle nous accompagne au quotidien
Ce petit morceau de plastique, l'air de rien, est source d'énormes angoisses. Rangé dans nos portefeuilles, il nous accompagne dans notre quotidien depuis plus de cinquante ans.
La carte nous rend en effet bien des services. Et malgré l'explosion du digital, et notamment du paiement sur mobile, il résiste assez bien au temps qui passe.
Le nombre de transactions (15 milliards en 2022) et le montant total de celles-ci (685 milliards d’euros) continue de croître en France, assure le groupement d’intérêt économique (GIE) Cartes bancaires (CB), rapporte le journal l'Union.
Toutefois, le nombre de ces cartes bancaires CB en circulation dans le pays recule largement : il atteignait 76 millions fin 2022 (-1,4 %), un chiffre auquel il faut ajouter les millions de cartes Visa ou Mastercard non CB, souvent distribuées par les banques en ligne, mais également par le groupe bancaire BPCE.
L e paiement sans contact a pris un tournant décisif, pendant la pandémie de Covid en 2020, mais la carte a tenu bon. Pourtant, ce n'est pas faute d'obstacles. Elle a, en effet, vu se dresser devant elle l’usage du téléphone mobile en lieu et place de la carte physique, qui a plus que doublé entre 2021 et 2022, selon la Banque de France, rapporte le média.
Et ce n'est pas fini. Deux projets autres pourraient égalemen t lui faire ombrage dans les années à venir :Wero, un portefeuille dématérialisé accessible sur mobile porté par de grandes banques européennes, et l’euro numérique, version dématérialisée du cash lui aussi accessible sur mobile et défendu par la Banque centrale européenne (BCE).
Mais, pour le moment, la carte résiste, et ce, malgré les problèmes techniques du quotidien qui y sont liés :