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Voiture : un budget de plus en plus écrasant pour une très large majorité de Français
A Paris, Anne Hidalgo lui mène une guerre sans merci. Mais il n'y a pas que dans la capitale que la voiture devient une nécessité toujours plus chère. Sur 10 d'entre eux, près de 9 Françaises et Français font très attention au budget qu'ils consacrent à l'entretien de leur véhicule et à l'achat de son carburant, souligne Jean-Pierre Pernault dans son JT du 12 juin 2019. Une situation qui n'est que plus vraie à mesure que l'on s'éloigne des métropoles et que l'on gagne la France rurale. Pour réduire les dépenses qu'ils peuvent compresser, certains automobilistes décident même de monter eux-mêmes les pièces achetés chez le garagiste… D'autres, cependant, préfèrent économiser sur leurs loisirs ou leurs vacances pour pouvoir financer des charges auxquelles ils ne peuvent échapper.
Et ce n'est pas près de s'arrêter ! Comme le rappelle Planet, le contrôle technique va bientôt couter plus cher encore. Malgré des augmentations dont nous parlions déjà en 2018, la réforme qui entrera en vigueur risque de faire gonfler la facture d'une partie considérable des Français. Et pour cause : pour tous les véhicules diesel – on en dénombre plusieurs dizaines de millions en France – les normes pollutions vont considérablement se durcir.
Tous les véhicules mis en circulation en 2005 devront être révisés de façon à ne pas émettre plus de fumées que lorsqu'ils étaient neufs. Dans le cas contraire, le propriétaire sera contrat de décrasser ou réparer sa voiture… Avant de passer en contre-visite. Depuis l'annonce, les centres de contrôles connaissent une affluence sans précédent. De nombreux automobilistes souhaitent, en effet, entrer en conformité avec ces nouvelles normes avant même leur application…
Voiture : des radars toujours plus performants ?
Cible privilégiée des "gilets jaunes", le radar routier a du faire face à de très nombreux actes de vandalismes au cours du second semestre de 2018. Tant et si bien, affirme Capital, que le coût des réparations pourrait se chiffrer en dizaines de millions.
En pratique, le gouvernement a opté pour de nouveaux types de radars, réputés plus performants, indiquait Planet en avril dernier. "Il sera beaucoup plus difficile de le casser que ses prédécesseurs", affirmait en effet le ministère de l'Intérieur.
Ces nouveaux bijoux de technologie sont montés sur un mât haut de quatre mètres. Ils sont donc perchés assez hauts pour faire la différence entre un poids lourds et une voiture mais aussi pour scanner huit voies de circulation en simultané… Tout en traquant plusieurs véhicules sur des tronçons de 200 mètres de route.
En vérité, ils sont même assez précis pour flasher des automobilistes ne portant par leur ceinture, ne respectant pas les distances de sécurités ou téléphonant au volant. Cependant, ils ne sont pas supposer le faire. 400 radars tourelles doivent être installés cette année et leur nombre doublera d'ici 2020.
Ce n'est pas tout ! Comme le précise Capital, les radars embarqués ont également eu droit à une amélioration. Les véhicules qui les transportent sont désormais équipés d'une lampe infrarouge, de façon à pouvoir flasher également la nuit. Une information d'autant plus intéressante que les seules rondes effectuées par les radars-auto concernés correspondent à 38% du montant total des heures de contrôle effectués…
Voiture : des carburants dont les tarifs fluctuent considérablement
Les prix du carburants sont enfin annoncés à la baisse rapporte Europe 1. Une heureuse situation qui résulte de l'importante chute des cours du pétrole. Sur l'achat d'un litre de gazole les automobilistes peuvent espérer économiser 3,71 centimes en moyenne. Une somme non négligeable.
Pour le sans plomb 95, la baisse est de 4,12 centimes. Pour le SP95-E10, la chute se chiffre à 3,56 centimes tandis que le litre de sans plomb 98 a perdu 3,26 centimes.
Pourtant, il importe de rappeler que ces baisses surviennent après une longue phase de hausse. Récemment, poursuit la radio, le Super sans plomb 95 atteignait son plus haut prix depuis 2013, à 1,5802 euros le litre.
L'escalade des prix, rappelle Europe 1, était essentiellement due à des facteurs externes : cours du baril de brut en hausse, minoration de la production des pays de l'OPEP pensée pour rééquilibrer le marché du pétrole, contexte géopolitique compliqué… Les éléments de cette recette à laquelle goûtaient peu les automobilistes sont nombreux.
"Il n'y pas de signe extrêmement inquiétant sur une flambée des prix du pétrole", souligne pour sa part Francis Duseux, président de l'Union française des industries pétrolières. "Il faut être prudent, mais je crois que l'OPEP va jouer son rôle traditionnel de régulateur de la production pour que les prix restent à peu près stables. Personne n'a intérêt à ce que les prix explosent.
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