Faute de budget 2025 d’ici fin février, 619 000 contribuables pourraient devenir imposables en 2025. Découvrez si vous en faîtes partie.
C’est le premier cas humain du nouveau variant confirmé en France. Selon un communiqué publié lundi 6 janvier par le ministère du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, le premier cas humain de mpox de clade 1b sur le territoire français a été diagnostiqué chez une femme résidant à Rennes, en Bretagne.
Si les différents variants du virus circulent activement en Afrique centrale ces derniers mois, la patiente déclarée ne rentre pas d’un voyage dans cette région. "Cette personne a toutefois été en contact avec deux personnes de retour d’Afrique centrale, les investigations sont en cours pour rechercher l’origine de la contamination et identifier l’ensemble des personnes contacts à risque autour du cas diagnostiqué", précise le ministère.
Un risque d’infection considéré comme faible
Depuis l’été 2024, ce nouveau variant a déjà été détecté en Suède, en Allemagne, au Royaume-Uni et en Belgique. Le communiqué se veut rassurant, expliquant que le risque d'infection pour la population générale en France et en Europe "est considéré comme faible par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC)" tout en appelant à la vigilance car “des cas sporadiques, en lien avec les pays de circulation virale plus intense, peuvent survenir. La survenue de ce cas en France a pu être rapidement détectée grâce au système de surveillance en place”.
Le Mpox avait été identifié pour la première fois en République démocratique du Congo en 1970 avant de s’étendre à d’autres régions du monde dès 2022. Les autorités sanitaires rappellent l’importance de la vaccination, en particulier pour “les publics cibles”. Voici les symptômes qui doivent vous alerter.