Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Plus qu'un slogan, une philosophie. Depuis le dépôt de la candidature en 2016, le Comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 (Cojop) n'a eu de cesse de répéter que ces Jeux, seraient "populaires" et "accessibles à tous", relaie France info.
Brandis en étendard dans chaque discours, à commencer par ceux du patron des Jeux Tony Estanguet, ces mots, en forme de promesses, ont fini par se retourner contre les organisateurs, pris au piège de leur propre communication. À l'épreuve des faits, des critiques ont, en effet, surgi sur le prix des places, le mode de tirage au sort pour acheter des billets, mais aussi la hausse des tarifs du ticket de transports en commun ou encore l'accessibilité pour les personnes en situation de handicap.
Un évènement favorable à plusieurs secteurs
Avec plus de quatre milliards de téléspectateurs, les Jeux Olympiques et Paralympiques restent le plus grand événement sportif planétaire. 10 500 athlètes, 28 sports, 206 délégations, 26 000 journalistes accrédités : pendant deux mois, la France va vivre au rythme des JO d'été pour la troisième fois de son histoire, après les jeux de Paris en 1900 et 1924. Un siècle se sera écoulé depuis les derniers jeux d'été en France, mais aujourd'hui les enjeux économiques, environnementaux ou sociétaux ont radicalement changé.
Lors de ses traditionnels voeux télévisés de fin d'année, Emmanuel Macron a insisté sur le fait que "2024 sera un millésime français". "Nous serons fiers de nos athlètes, de nos artistes, de nos paysages", poursuit-il. Alors, sera-t-on fier de cette échéance qui se présente à toute allure dans notre pays ? Découvrez dans notre diaporama ci-dessous quelques éléments de réponses.