De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Moins d'un an avant les JO. Après près d'une décennie à trépigner, la France, et surtout sa capitale, ont obtenu l'accueil des Jeux Olympiques à l'été 2024. Au programme, environ 400 épreuves de plus de 40 disciplines, entre paralympiques et olympiques. L'évènement s'étendra du 26 juillet au 11 août, et sera précédé de mai à juillet par le passage de la flamme olympique dans diverses grandes et moyennes villes du territoire français. Une organisation dantesque, un budget qui ne l'est pas moins (près de 9 milliards et des coûts régulièrement revus à la hausse) : la France doit pourtant maîtriser ses JO, ne serait-ce que pour redorer le blason de sa capitale, écornée par des mois de manifestations et le souvenir à vif du fiasco de la finale de la Ligue des Champions en 2022. Las ! Plus la date buttoire approche, et plus il semble que le Cojo (comité d'organisation des Jeux) s'agite, à la recherche du temps qui lui manque pour maints préparatifs.
Transports, circulation, logement
Des broutilles ? Malheureusement non. Les "Event tests" organisés à Paris en août 2024 sont bien la preuve, tangible, que l'organisation doit encore être travaillée pour permettre aux athltètes de se préparer et de concourir dans de bonnes circonstances, au public d'accèder aux lieux d'épreuves mais aussi aux habitants des villes sélectionnées pour accueillir des épreuves de vivre leur vie sans être trop chahutés, sous peine de quoi le vent de protestation contre les Jeux pourrait venir siffler aux oreilles des organisateurs. Circulation, transports en commun, risque de manifestations, prix des nuits à l'hôtel : autant de paramètres à anticiper pour cet évènement qui accueillera sportifs et spectateurs du monde entier. Voici les perturbations anticipées à ce stade.