De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Aurez-vous droit à la pension de réversion ? Il s’agit d’un sujet important, qui travaille de nombreuses femmes - mais aussi quelques hommes ! - une fois arrivée la retraite et passé le décès du partenaire. Nombreuses, en effet, sont celles qui craignent de se voir privées de ce complément de revenu parfois indispensable à la survie en solitaire, après la cessation d’activité et une carrière à s’échiner.
Pour rappel, écrit le service public sur son site, "la pension de réversion correspond à une partie de la retraite dont bénéficiait ou aurait pu bénéficier l'assuré décédé (salarié ou fonctionnaire)", qui est ensuite "versée, si certaines conditions sont remplies, à l'époux (et/ou ex-époux) survivant, et aux orphelins (si le défunt était fonctionnaire)".
Parfois, elle peut s’accompagner d’"une pension d'invalidité de veuf(ve) peut être versée sous conditions d'âge et d'invalidité", termine la plateforme.
La crainte de ces assuré(e)s est on ne peut plus légitime : il est tout à fait possible de se voir amputé d’une pension de réversion à laquelle on aurait pourtant légitimement eu le droit…
Dans quel cas peut-on perdre sa pension de réversion ?
Parfois, la pension de réversion n’est pas supprimée. Cela ne signifie pas pour autant que vous y aurez droit ! Elle peut, de fait, être suspendue, rappelle Femme Actuelle. C’est parfois le cas quand il y a changement de situation familiale. Pas de panique, néanmoins, si vous avez dû opter pour la collocation avec un proche, comme le raconte cette lectrice de Notre-Temps qui s’inquiétait des conclusions qu’aurait pu tirer sa caisse de retraite.
Plus d’informations sur les cas inquiétants dans notre diaporama.