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Après le passage à l’acte de Michel Barnier avec l’activation du 49-3 pour faire passer, sans vote, le projet de loi sur le budget de la Sécurité sociale, une motion de censure a été déposée par la France insoumise. Le Rassemblement national en a fait de même.
Résultat, le gouvernement est tombé et le Premier ministre sortant aura été celui qui aura exercé le plus court mandat de la V e République, avec 91 jours.
Depuis, l'incertitude règne. Mais Emmanuel Macron a déclaré dès la chute de Michel Barnier vouloir aller vite pour nommer son successeur, et a annoncé que ce serait acté avant la fin de la journée. Mais il foit faire face aux pressions de LFI et du RN, qui menacent d'une nouvelle censure si le nouveau pensionnaire de Matignon ne leur convient pas. Et il y a fort à parier que ce soit le cas.
Et si le Premier Ministre était une femme ?
En effet, cette semaine, Emmanuel Macron a reçu plusieurs chefs de groupes parlementaires, et organisé une réunion avec tous les partis, excluant La France Insoumise et le Rassemblement national.
En sortie de réunion, le socialiste Olivier Faure a considéré que le Président avait fait un pas en faveur de la gauche. Sa proposition de pacte de non-censure si le futur gouvernement renonce à avoir recours à des 49-3. "Sur cette idée simple, les choses ont plutôt avancé, cela a été repris par Horizons, par le Modem, par l'ensemble de la gauche, il y a peut-être là une piste d'atterrissage pour une méthode qui permettrait au Parlement de retrouver tous ses droits et de chercher à la loyale des compromis (...) la balle est dans le camp du président," a-t-il concédé à BFM TV.
Ce qui n'a pas du tout été le cas de l'écologiste Marine Tondelier qui a déclaré aux micros de plusieurs médias : "Aucun compromis et aucune concession n'ont été trouvés. Il y a deux solutions maintenant: soit il nomme un Premier ministre qui mène les discussions soit le groupe écologiste va saisir le bureau de l'Assemblée pour que celui-ci préside les réunions sur le contenu et fasse émerger la nouvelle politique dont la France a besoin."
A droite, Laurent Wauquiez a loué "un accord de non-censurabilité" sous conditions : un gouvernement sans aucun membre de LFI et qui n'applique pas le programme du NFP. Pas facile donc, il faut le reconnaître, pour Emmanuel Macron.
Des noms continuaient de sortir jusqu'à hier soir. Et c'est celui d'une femme qui pourrait créer la surprise. Découvrez dans notre diaporama les candidats "toujours en lice", et retrouvez qui est la candidate mystère en dernier !