
Dans le cadre de l’enquête sur la mort du petit Émile, le van de son grand-père, Philippe Vedovini, a été minutieusement fouillé par les enquêteurs avant d’être restitué. Le corps du petit garçon a-t-il...
Lancé en décembre 2022, le “bonus réparation” permet de bénéficier d’une aide de l’Etat pour réparer vos appareils électroniques endommagés, sans en acheter de nouveaux.
Un bonus dont le montant varie en fonction de l’appareil utilisé, qui incite le consommateur à se tourner vers des réparateurs agréés QualiRépar plutôt que de jeter les appareils à la poubelle.
A partir de janvier 2024, le gouvernement avait augmenté le montant des aides pour cinq appareils (lave-linge, sèche-linge, lave-vaisselle, téléviseur et aspirateur). Pour les 21 autres appareils, l’aide était majorée à 5 euros. Cette année, une nouvelle panne a été prise en compte : la casse de l’écran d’un smartphone est prise en charge à hauteur de 25 euros.
La liste des appareils concernés, selon le ministère de l’Economie :
Une démarche qui a porté ses fruits puisque le nombre de réparations à doublé. “Ces changements ont eu un impact. Nous sommes passés de 21 180 réparations mensuelles en moyenne sur la période de juillet à décembre 2023 à 51 007 de janvier à juin 2024, soit une augmentation de 141 %”, souligne Ibtissam Mozher, responsable de l’observatoire du fonds réparation à la CLCV, rapporte Le Parisien.
Les appareils les plus réparés sont le lave-linge, le lave-vaisselle et le smartphone. Les réparations de portables ont augmenté de +158% selon la CLCV (Consommation logement et cadre de vie).
Les consommateurs ont néanmoins du mal à trouver des réparateurs agréés sur le territoire, rapporte la CLCV. Pour devenir agréée, la procédure de certification a été simplifiée pour les PME de moins de 10 salariés et son coût réduit.
Un dispositif qui ne suffit pas pour l’association CLCV. “Certes les labellisés ont augmenté de 26 % en six mois, complète Ibtissam Mozher, mais les trois quarts des 22 336 établissements de réparation ne le sont toujours pas.”
Des disparités qui ne facilitent pas la vie des consommateurs et qui doivent encore être améliorées.