La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Mardi 18 mai, en fin d'après-midi, une terrible découverte est faite par les sapeurs-pompiers de Reims (Marne). Après avoir forcé la porte, les soldats du feu font d'abord face à la mère de famille, vivante mais "très affaiblie et malade", raconte le journal L'Union. Dans une chambre, le corps de la petite fille "gît sans vie, manifestement décédé depuis plusieurs jours".
Depuis plusieurs jours, les voisins n'avaient plus eu de nouvelles de la mère et de la fille.
La maman est d'abord placée en garde à vue. Une enquête est ouverte par le parquet de Reims pour "délaissement de mineur hors d'état de se protéger ayant entraîné la mort" confie le procureur au média local.
La mère de famille était gravement malade
L'état de santé de la mère de famille va cependant mettre fin à la garde à vue. Celle-ci est emmenée dans un service de réanimation. Une forme aggravée du coronavirus "est suspectée".
Une autopsie réalisée ce mercredi sur la jeune victime a révélé "qu'aucune lésion corporelle n'avait été constatée". Comment alors expliquer le décès de la petite fille ? Comme l'explique l'Union, l'enfant aurait d'abord souffert d'une angine. Selon les hypothèses du canard local, la mère, malade aussi, aurait pu tout simplement être incapable de s'occuper de son enfant. L'enfant, atteinte de trisomie 21, serait alors morte, seule, dans sa chambre.
Pour le moment, rien ne permet cependant d'incriminer directement cette femme de 41 ans dans ce terrible drame. Selon les informations du procureur, elle souffrait aussi d'un "lourd handicap" et était placée "sous curatelle renforcée". L'enquête se poursuit.