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Marie-Ange Laroche

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© BFMTVMarie-Ange Laroche

Marie-Ange était la femme de Bernard Laroche, assassiné par le père du petit Grégory qui était persuadé qu'il s'agissait du coupable. Désormais âgée de 67 ans, elle a déclaré en 2017 que sa vie était "foutue après avoir été traitée dans la boue, détruite, salie", peut-on lire auprès deCNews. Son avocat s'était par ailleurs exprimé à l'AFP : "Marie-Ange Laroche va très mal. Depuis le 29 mars 1985, date de l'assassinat de Bernard Laroche, elle n'a jamais pu faire son deuil, puisqu'à intervalles réguliers, il y a une réouverture (de l'enquête) soi-disant décisive et qui montre du doigt son mari comme étant l'éventuel coupable". Elle a quatre enfants (dont deux avec Bernard Laroche). 

Etienne Sesmat

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Etienne Sesmat gendarme Grégory

Il était capitaine de gendarmerie et le premier enquêteur à s'intéresser à l'affaire Grégory. En 2006, il a définitivement fait ses adieux à la gendarmerie et publie au passage son livre "Les deux affaires de Grégory". Après avoir travaillé dans la Régie des transports de Marseille, il est à la retraite depuis 2018. À 70 ans, il reste néanmoins actif, en étant conseiller municipal dans la commune de Collioure, située dans les Alpes-Maritimes. 

Monique et Albert Villemin

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Albert et Monique Villemin petit Grégory

Les grands-parents du petit Grégory sont décédés récemment, en 2020 pour Monique, en 2023 pour Albert. Eux aussi étaient la cible du corbeau et recevaient des appels et des lettres anonymes. Comme le rappelle le magazine Elle, Monique Villemin "laissait entendre que la responsable du meurtre n’était autre que Christine Villemin". Une grand-mère disposant d'un fort caractère selon ses proches, qui était par ailleurs accusée d'être "l'autrice d'une lettre de menace envoyée au juge Simon" ayant succédé au juge Lambert à la fin des années 80. 

Marcel et Jacqueline Jacob

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© BFMTVMarcel et Jacqueline Jacob

L'oncle et la tante de Jean-Marie Villemin vivent toujours dans les Vosges, dans la ville d'Aumontzey. Ils ont longtemps été accusés d'avoir "envoyé une lettre de revendication du crime à la famille Villemin et d'avoir potentiellement joué un rôle dans le complot familial". En raison d'un vice de procédure, les poursuites les concernant ont été annulées en 2018. Ils continuent de clamer leur inoncence. 

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