La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Êtes-vous prêts pour “la fin de l'abondance" ? C’est Emmanuel Macron qui l’a annoncée à la fin du mois d’août 2022. La crise énergétique est telle, en France, que le président de la République et ses ministres s’inquiètent désormais du risque de coupures pendant l’hiver. Si celui-ci s’avérait trop froid, ainsi que l’a d’ores et déjà expliqué Planet, la situation pourrait s’avérer particulièrement complexe à gérer. Pour prévenir ce type de tournure d’événements, le chef de l’Etat a même décidé de ressusciter le Conseil national de défense, rappelle le quotidien du soir sur son site, qu’il n’avait plus tenu depuis la crise sanitaire.
Cette crise énergétique, encore faut-il le préciser, n’est pas la première de son genre. Bien sûr, elle demeure probablement historique. Mais force est de constater qu’il existe un précédent dont le gouvernement pourrait tout à fait s’inspirer. En 1973, sous la présidence d’un certain Georges Pompidou, la France avait dû faire face à l’un des chocs pétroliers les plus importants de l’histoire. Comment l’exécutif d’alors avait-il réagi ?
Crise énergétique de 1973 : la réponse du gouvernement
Pour faire face à la catastrophe qui s’annonçait, Georges Pompidou et son équipe ont d’abord mis en place des limitations en matière de chauffage, une piste qu’il pourrait être pertinent d’envisager de soi-même cet hiver pour réduire sa facture. Retrouvez, dans notre diaporama ci-après, quelques-unes des pistes à appliquer pour économiser un tant soit peu. Suivis à la lettre, comme l'expliquent nos confrères du Parisien, vous pourriez peut-être économiser jusqu'à 10%.
Les horaires de consommation électrique (plateau télés, éclairages, etc) étaient aussi strictement réglementés et des limitations de vitesse plus dures ont été mises en place pour encourager les routiers à ne pas consommer trop de carburant. Du reste, un post de délégué général à l’énergie avait alors été créé, “pour se donner les moyens d’intervenir”.