Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
“En un an, les prix du gaz ont été multipliés sur le marché par 5 ou 6 et ceux de l’électricité ont atteint des niveaux jamais connus” : a affirmé le président Emmanuel Macron, mardi 6 septembre, à l’issue d’une réunion avec le chancelier allemand Olaf Scholz. Depuis plusieurs semaines, les dirigeants européens sont sur le qui-vive pour préparer un hiver sans gaz russe.
La semaine passée, le chef de l'exécutif a même sommé son gouvernement de préparer un “scénario du pire”, celui d’un hiver froid, en proie aux coupures.
Pour l’heure, la France serait déjà passée de “50% à 9% de gaz russe”. L’une des priorités du gouvernement : organiser la production hexagonale, pour réduire encore plus cette dépendance. Avec, toutefois, à cœur de maîtriser les prix pour éviter que les factures des particuliers ne grimpent encore davantage.
Sobriété énergétique, mode d’emploi
Dans un tel climat, les entreprises comme les politiques n’ont dès lors qu’un mot à la bouche : “sobriété” énergétique. Concrètement, il va falloir économiser de l’énergie, par tous les moyens, et les ménages devront mettre la main à la patte.
Emmanuel Macron a ainsi ajouté qu’avec une telle stratégie, la France pourrait économiser 10% de sa consommation en énergie.
Arguant que “la meilleure énergie est celle qu’on ne consomme pas”, le chef de l’Etat a enjoint les Français à ne pas régler le chauffage au-delà de 19°c cet hiver…
En 1973, face à une crise énergétique inédite, le gouvernement avait décidé d’imposer une restriction semblable aux ménages de l’Hexagone.
Pourrait-il en être autant dans quelques semaines ? Rien n’est exclu. Fermeture de certains lieux, blocage des températures… Dans notre diaporama, découvrez les 7 conséquences que pourrait bien avoir cette crise d’une toute nouvelle ampleur cet hiver dans notre pays.