La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Vont-elles pouvoir se relever après deux mois de fermeture ? Plusieurs enseignes, déjà fragilisées par les nombreuses manifestations de gilets jaunes et autres mouvements sociaux comme les grèves contre la réforme des retraites fin 2019, finissent par prendre l’eau, explique Business Insider. "Si on ne fait pas attention, on aura une multiplication des faillites", avertissait déjà Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, au début de la crise sanitaire engendrée par le coronavirus Covid-19.
Il craignait alors que de nombreux employés ne soient affectées durement par les dépôts de bilan qui ne cesse de déferler depuis plusieurs semaines maintenant. Certaines enseignes sont par ailleurs déjà en redressement judiciaire.
Des enseignes historiques en danger
Dans une étude parue le 29 avril 2020, le cabinet Altares prévoyait que les défaillances d’entreprises risqueraient de s’accumuler à partir du mois de juin. Il n’aura pas fallu attendre cette période pour déjà percevoir les conséquences de la crise sanitaire sur les enseignes non-alimentaires. Pour elles, les difficultés s'accumulent et menacent dès lors des milliers d’emplois.
C’est le cas par exemple de l’enseigne spécialisée dans la vente de chaussures André. Autre cas, celui du groupe Vivaldi, qui souffre également de cette longue période d’inactivité pour deux de ses enseignes en particulier : Naf Naf et La Halle. Plusieurs enseignes bien connues des Français sont en danger après la longue crise sanitaire qu'a traversé le pays. Découvrez lesquelles dans le diaporama en haut de l'article.