Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Objectif : réduire au maximum le nombre de morts sur les routes
Le magazine Auto Plus le confirme : huit équipements de sécurité supplémentaires sont obligatoires de série (quelques constructeurs en proposaient déjà certains, en option le plus souvent) dans toutes les voitures neuves vendues en France et dans l'Union européenne depuis le 7 juillet. Ils seront même dix d'ici 2026 avec l'ajout de deux autres technologies pour protéger les piétons, cyclistes et motards. Ce pour réduire drastiquement le nombre de morts sur les routes : 46 pour 1 million d'habitants en moyenne chez les 27 en 2022 comme le rapporte l'Insee. Et plus de 3 000 rien qu'en France en 2023 même si le nombre est en légère baisse. L'année 2024 ayant déjà connu des accidents tragiques.
Conséquence : une hausse des prix des véhicules de ville ?
D'après Auto Plus, le Parlement européen garantit un maintient des prix actuels, arguant que ces technologies existent depuis plusieurs années. Mais il est malheureusement permis d'en douter, sans jeu de mot. En effet, si le haut de gamme devrait intégrer tous ces systèmes sans trop de surcoût, le magazine de référence estime qu'il ne devrait pas en être de même pour les citadines et microcitadines vendues à petit prix. A voir dans les mois qui viennent.
Sécurité : quels équipements sont concernés ?
Les huit équipements désormais obligatoires dans les voitures neuves sont :
- le détecteur de somnomence ;
- le régulateur de vitesse adaptatif ;
- la caméra capable de lire et reconnaître les panneaux ;
- l'alerte au franchissement de ligne ;
- le freinage d'urgence automatique ;
- l'alerte de trafic en marche arrière ;
- un emplacement pour éthylotest ;
- la boîte noire ou EDR (enregistreur de données de route).
Voici à quoi ressemblent tous ces dispositifs.