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A-t-on le droit de se garer devant chez soi ? Rien n’est moins sûr, affirme le magazine féminin Femme Actuelle sur son site. Tout dépend bien sûr des situations spécifiques - rien n’empêche de stationner son véhicule dans son jardin, par exemple - mais il est tout à fait possible d’écoper d’une amende dès lors que l’on abandonne sa voiture… devant son propre garage. Il s’agit en effet d’une infraction, décrite avec force de détail dans le Code de la Route, avancent nos confrères.
“Est considéré comme gênant la circulation publique le stationnement d’un véhicule devant les entrées carrossables des immeubles riverains”, dispose en effet son article R417-10. Il poursuit : “Tout arrêt ou stationnement gênant prévu par le présent article est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la deuxième classe. Lorsque le conducteur ou le propriétaire du véhicule est absent ou refuse, malgré l’injonction des agents, de faire cesser le stationnement gênant, l’immobilisation et la mise en fourrière peuvent être prescrites dans les conditions prévues aux articles L.325-1 à L. 325-3”.
Stationnement gênant : à quoi correspond une contravention de deuxième classe ?
La contravention de deuxième classe, précise le site spécialisé Justifit.fr, est punie d’une amende forfaitaire dont le montant correspond à 35 euros. Il peut d’ailleurs être minoré à 22 euros en cas de paiement en avance. En revanche, tout règlement retardé engendre la majoration de l’amende forfaitaire, dont le nouveau montant grimpe jusqu’à 75 euros. En cas de stationnement sur un trottoir, il faudra même payer 135 euros !