Procès de Mazan : Gisèle Pelicot bouleverse la cour, la France aura-t-elle assez de gaz pour passer l'hiver ? Quoi de neuf ce jeudi 24 octobre 2024 ?

Le Conseil d’État a récemment jugé que la majorité des ralentisseurs en France sont installés en violation du décret de 1994, qui en encadre strictement la mise en place. Trop hauts, trop abrupts, ou situés sur des routes inadaptées, ces dispositifs sont désormais sous le feu des critiques. Le problème, qui concerne près de 450 000 ralentisseurs à travers le pays, a conduit certaines villes, comme Toulouse, à entamer un recensement pour identifier ceux qui ne respectent pas les normes. 

Stellantis mène une vaste campagne de rappel pour les airbags Takata défectueux, rapporte Le Parisien, qui ont causé plusieurs décès en raison de leur dangerosité dans les climats humides et chauds.

Bien que l’entreprise assure que le retrait des airbags est géré en sécurité, des problèmes de stockage chaotique dans certaines concessions suscitent l’inquiétude. Des cartons remplis d’airbags non sécurisés s’entassent dans les garages, posant un risque potentiel pour les salariés et les clients. Un expert judiciaire a alerté sur le risque d'explosion, malgré les dénégations de Stellantis.

La France, pour assurer un approvisionnement suffisant en gaz cet hiver, doit remplir trois conditions essentielles. D'abord, maintenir un déficit de stockage de 6 % afin de gérer les pics de demande. Ensuite, garantir des importations supplémentaires de gaz naturel liquéfié (GNL) via des infrastructures adaptées. Enfin, ajuster la consommation en fonction des températures, notamment en cas de froid extrême. Ce scénario est jugé favorable, mais repose sur la réussite de ces actions, afin d'éviter les ruptures d'approvisionnement.

Olivier Benham, un kinésithérapeute, a été condamné à 17 ans de réclusion criminelle pour des viols et agressions sexuelles commis sur quatre patientes lourdement handicapées entre 2015 et 2017 à Vence.

La cour d'assises d'appel a alourdi sa peine de deux ans par rapport au premier jugement. Les avocats des parties civiles ont insisté sur la vulnérabilité des victimes, tandis que la défense a plaidé l'acquittement. L'affaire a profondément marqué la cour, notamment en raison des témoignages des femmes agressées.