De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Dans une interview accordée à BFMTV ce vendredi matin, Michel Sardou est revenu sur les récents propos polémiques qu’il avait tenus sur les réfugiés. La semaine dernière, le chanteur expliquait au Figaro qu'il craignait "une invasion passive" de migrants orchestrée par Daech. "C'est calculé, je suis sûr que derrière, ces salauds de l'Etat islamique ont prévu de nous étouffer. S'ils n'avaient pas voulu qu'ils s'en aillent ils les auraient massacrés mais ce qu'ils veulent c'est bien étouffer l'Europe, la foutre dans la merde", avait-il déclaré.
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Face à Jean-Jacques Bourdin ce vendredi, l’artiste s’est montré un peu plus mesuré. "Ces gens-là, il faut les recevoir, ce n'est pas possible de les laisser dehors. Ce n'est pas possible qu'on laisse un bateau de pêche, un chalutier, qu'on tire dessus, qu'on le coule avec des femmes et des enfants à bord", a-t-il notamment expliqué, tout en ajoutant : "mais le problème, c'est qu'on ne peut pas les garder. Combien de temps ? Avec quoi ? On n'a pas les moyens" (voir l'extrait vidéo ci-dessus).
"Je ne voterai jamais pour le FN"
Michel Sardou ne s’est pas arrêté là et a repris la thèse du Front national selon laquelle des terroristes se cacheraient parmi les migrants. "Il doit y avoir des éléments méchants" parmi les réfugiés, a-t-il estimé, tout en maintenant qu'il fallait malgré tout les accueillir. Interrogé sur les prochaines élections, le chanteur a toutefois déclaré : "Je n'ai jamais voté, et ne voterai jamais pour le FN à cause de son côté renfermé sur soi-même".
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