Faute de budget 2025 d’ici fin février, 619 000 contribuables pourraient devenir imposables en 2025. Découvrez si vous en faîtes partie.
Le diaporama illustre la répartition de la demande par villes pour les vibromasseurs à l'échelle nationale. Données : sondage IFOP pour Passage du désir.
En 1992, seulement 7% des personnes interrogées admettaient avoir déjà utilisé un sextoy, rapporte Néon. Près de 30 ans plus tard, plus de la moitiée des Françaises et des Français sondés reconnaissait être parfois amateur de ce genre d'objet. Doit-on y voir un effet du confinement ? Pas forcément car la tendance est clairement à la hausse sur les dix dernières années. L'étude de l'IFOP montre néanmoins que cet usage des sextoys reste assez occasionnel. Seulement 1% de la population interrogée déclare utiliser ces objets de manière quotidienne. Autre point à relever, les hommes utilisent autant les sextoys que les femmes. Les courbes se suivent de très près.
Mais dans quelles villes s'amuse-t-on le plus ? Réponse dans notre diaporama.
Vers la fin d'un tabou ?
Le sextoy est-il en passe de devenir un objet de consommation comme un autre ? Certaines marques semblent le penser. La marque Monoprix a récemment indiqué que ses rayons allaient désormais accueillir une trentaine d'objets coquins, nous rapporte le site Femina. Une démarche qui s'inscrit dans la volonté de démocratiser et d'en finir avec le tabou des objets coquins. " Nous souhaitons rendre accessible et démocratiser l'accès au plaisir. En nous implantant dans les rayons de cette grande enseigne de distribution, nous continuons de briser les tabous sur les jouets intimes" a ainsi déclaré Patrick Pruvot, fondateur de la marque qui sera commercialisée chez Monoprix.
En revanche seulement, 5% des amateurs d'objets coquins confient en avoir parler avec leurs parents et 10% avec le corps médical.