Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
« C'est un challenge »
« J'avoue que je balise un peu ! » confie-t-elle à Métro. « Aujourd'hui sur D8, on va s'amuser, certes, mais piloter un JT, c'est aussi un challenge. Je vais devoir me lever aux aurores pour préparer et hiérarchiser l'information. C'est un exercice de présentation que je n'ai jamais fait, très différent du talk-show ». Faut-il néanmoins s’attendre à ce que Roselyne Bachelot, qui s’est imposée comme une chroniqueuse à la répartie bien sentie, y mette sa touche personnelle ? « Ce n'est pas parce que de temps en temps je me permets un bon mot que je ne sais pas faire sérieusement les choses » assure Roselyne Bachelot, qui rappelle qu’elle a « géré des centaines de milliards d'euros à la tête d'administrations, présidé des auditions, des collectivités », une mission qui « n'autorise aucune fantaisie ».
« A la télé, je m'éclate »
« On peut être sérieux sans se prendre au sérieux. La présentation d'un journal est une éthique de vérité et d'impartialité. Et ça, je me sens tout à fait capable de l'assurer » ajoute-telle. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy confie également qu’elle a pris goût à son nouveau métier. « Je suis ravie de pouvoir mettre à profit ma fantaisie et mon goût de la dérision. A la télé, je m'éclate » déclare-t-elle. De là à animer bientôt sa propre émission ? Si Roselyne Bachelot confie qu’elle aimerait beaucoup, « aucun projet concret » n’est à l’ordre du jour. En attendant, elle se frottera ce midi à l’exercice du journal télévisé.