Comme chaque année, pompiers et facteurs frappent aux portes pour vendre leurs traditionnels calendriers. Ces petits gestes, à première vue anodins, s’inscrivent dans une longue tradition de solidarité et de...
Une simple soustraction. En théorie, calculer son reste à vivre n'est pas très compliqué : il vous suffit de prendre la totalité de vos revenus et d'y soustraire vos charges fixes... Mais est-ce aussi simple, en pratique ? Selon Fortuneo, vos revenus pris en compte par les établissements bancaires pour calculer votre reste à vivre sont les suivants : le salaire, les revenusfonciers et, éventuellement, la pension de retraite.
A cette somme, il faut soustraire les dépenses dites incompressibles qui correspondent à :
- Vos mensualités de remboursement de crédits (immobilier, conso, prêt auto...) ;
- Votre loyer ;
- Vos factures de télécommunication, d'électricité, d'eau et de gaz ;
- Vos impôts et taxes ;
- Vos frais d'assurance (auto, habitation...) ;
- Certains frais réguliers (transport, scolarité)...
Votre reste à vivre, donc, correspond à toutes les dépenses susceptibles de varier d'un mois à l'autre, comme par exemple l'alimentation, le mobilier, l'électronique, l'électroménager, les voyages, le divertissement, l'épargne, l'habillement...
Comment optimiser son reste à vivre ?
A noter : chaque banque a son propre calcul de reste à vivre, et les charges prises en compte peuvent varier. Préférez donc prendre rendez-vous avec votre banquier pour avoir les chiffres les plus précis possibles. Selon la néobanque, il est également possible d'augmenter son reste à vivre en optimisant vos factures d'énergie, en vous déplaçant moins, et en comparant vos frais bancaires avec ceux proposés dans d'autres banques. A vous de jouer !