Presque deux ans après la découverte des ossements de leur fils, les parents du petit Emile se retrouvent confrontés à un problème : leur fils sera inhumé seul, dans le hameau du Haut-Vernet, loin de sa famille.
Suite à la révélation de plusieurs perquisitions menées début janvier dans ses locaux par la DGGCRF, Renault a vu son cours de Bourse dévisser de 10,2% jeudi, et jusqu’à 22% à la mi-journée, rapporte vendredi LeMonde.fr.
Ces perquisitions pour de possibles tricheries aux tests d'émissions de polluants sont l'une des conséquences du scandale Volkswagen, qui a éclaté il y a quelques mois. Si la tricherie n'a pas été avérée pour Renault, les tests ont toutefois montré un dépassement des normes pour le CO2 et les oxydes d'azote.
Des nouveaux systèmes pour les prochains véhicules
Mais d'où vient le problème ? "C'est à cause d'un choix technologique : le SCR (Selective Catalytic Reduction). Un équipement qu'à zappé le constructeur au losange. Et qui pourtant est un formidable piège à particules", précise RTL.fr. Cet équipement n'a pas été installé sur des véhicules Renault, le groupe ayant préféré une autre technologie, le Nox-Trap, moins coûteuse mais aussi moins performante.
Face aux critiques, le groupe automobile français a indiqué qu'il lèvera prochainement 50 millions d'euros afin d'installer dans ses véhicules des nouveaux systèmes pour limiter la pollution, et installera dans toute sa gamme le SCR.
Des nouveaux tests antipollution plus importants devraient avoir lieu en 2017.
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