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Depuis la loi du 9 février 2009, l’homologation des plaques d’immatriculation est très strictement réglementée en France. Dimensions, matériaux, rigidité, couleurs et polices d’écriture ne laissent aucune place à la fantaisie. Le ministère de l’Intérieur est formel : "la plaque doit être réalisée par un professionnel (garagiste ou fabricant de plaques par exemple)."
Parmi les éléments essentiels d’une plaque minéralogique figure le code TPPR. Si l’on sait que la combinaison de chiffres et de lettres centrale est destinée à identifier le véhicule, le sens du code TPPR, lui, peut interroger.
Code TPPR : une obligation pour tout automobiliste
En bas à droite de toute plaque minéralogique, se trouve la mention TPPR suivie d’une combinaison de quatre ou cinq chiffres. Selon L’auto-Journal, TPPR signifie "Travaux Publics Plaque Réflectorisée". Ce code doit obligatoirement figurer sur la plaque. Et pour cause : il correspond au numéro d’homologation attribué par le ministère des Transports. Il atteste de la conformité de la plaque.
Sur certaines plaques fantaisistes, le code TPPR n’apparait pas. Or il s’agit d’une infraction sanctionnée par le Code de la route. "Vous n’avez pas le droit de modifier votre plaque", souligne le ministère de l’Intérieur sur son site. Modifier sa plaque minéralogique est passible d’une amende de 135 euros. Dissimuler son code TPPR est donc interdit, tout comme le fait d’apposer des stickers sur sa plaque d’immatriculation.