
La ministre de la Culture aurait dissimulé plusieurs milliers d’euros de son patrimoine à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique dans l’exercice de ses fonctions. Un oubli qui pourrait lui...
Le chômage est un véritable fléau chez les seniors. En France, selon les chiffres de l’Unédic, on compte environ 2,5 millions d’allocataires de l’assurance-chômage. Parmi eux, 17 % sont âgés de plus de 55 ans, dont la moitié est dans cette situation à la suite d’un licenciement.
Or, on le sait, passé cet âge, retrouvé un emploi peut s’avérer particulièrement compliqué. Heureusement, des mesures spécifiques existent pour venir en aide aux personnes bénéficiant de l’assurance-chômage et proches de la retraite. L’une d’elles permet, à partir d’un âge limite, de profiter d’un maintien de leurs droits au chômage jusqu’à leur départ à taux plein.
Jusqu’ici, cette spécificité était accessible à partir de 62 ans, cependant, à l’image de la retraite, l’âge limite va augmenter. Depuis la mise en place de la réforme des retraites du gouvernement d’Élisabeth Borne, l’âge légal de départ est passé de 62 à 64 ans.
Le 1er avril 2025, ce sont les nouvelles règles de l’assurance-chômage qui étaient adoptées. Parmi celles-ci, l’une d’elles entraîne progressivement le décalage de l’âge à partir duquel les seniors ont la possibilité de profiter du maintien de leur droit jusqu’à leur départ à taux plein. Ainsi, à l’image de la réforme des retraites, cet âge va être repoussé progressivement jusqu’à atteindre les 64 ans. À noter cependant que, comme l’a confié l’Unédic à Capital, "ce décalage de 62 à 64 ans s’applique uniquement aux personnes ayant une fin de contrat à partir du 1er avril".
Selon votre année de naissance, l’âge requis pour le maintien des droits va donc changer pour vous. Découvrez lequel s’applique dans votre cas dans notre diaporama.