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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) est au cœur de bien des débats depuis quelques jours. Avec le PLF (Projet de loi sur les finances), il fixe chaque année les grandes orientations du budget de l’Etat.
Cette année, la grande crainte concerne le premier texte, qui doit également établir le budget des retraites. “Le gouvernement pourrait donc décider d'ajouter un amendement dans ce texte qui permettrait d'allonger la durée de cotisation”, note Franceinfo.
Pour autant, le journal Les Echos, qui s’est procuré un exemplaire du projet de loi, assure que le PLFSS comporte toutefois de bonnes surprises..
Tout d’abord, il prévoit une nouvelle revalorisation des pensions de retraite au 1er janvier 2022. “Mais la revalorisation restera modeste : +0,8 %”, précise le quotidien. Le taux définitif devrait être déterminé entre novembre et décembre, en fonction de l’inflation.
Et la retraite ne serait pas la seule prestation à connaître une nouvelle augmentation, si le projet venait à être voté.
Deux aides sociales, le Revenu de Solidarité Active et les allocations familiales, devraient aussi être revalorisées. Cette fois, l’augmentation pourrait “grimper” à hauteur de 1,7%, et versée dès le mois d’avril 2023.
Un taux qui reste toutefois inférieur à celui d’avril 2022, lorsque ces prestations avaient été revalorisées de 1,8%.
0,8%, 1,7%... Des hausses qui ne se refusent pas en temps de crise, mais qui ne combleront certainement pas les portefeuilles, alors que l’inflation, elle, flambe à près de 6%.
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