Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Pandémie, guerre en Ukraine, inflation, sécheresse et réchauffement climatique… En ce moment, les raisons de paniquer, de déprimer ou encore d’être en colère sont, hélas, assez nombreuses.
Si lorsqu’un tel sentiment vous traverse l’esprit, l’un de vos premiers réflexes, l’une de vos premières envies, c'est de dépenser, le diagnostic est sans appel : vous êtes un consommateur émotionnel, note le site anglo-saxon Stylist.
Dépenses émotionnelles et achats compulsifs : un réflexe qui peut devenir malsain
“Les dépenses émotionnelles sont devenues de plus en plus courantes durant le confinement, alors que nous étions incapables de nous offrir d’autres récompenses, comme des expériences en plein air ou avec nos proches. Pour apaiser nos sentiments, on s’est donc tourné vers le commerce en ligne et la livraison de repas”, précise le média.
Une mauvaise journée, une prise de tête au travail, un pépin amoureux, et vous voilà prêt à vous ruer dans un magasin, une boulangerie ou un site d’e-commerce pour y chercher du réconfort “express”... Le comportement est certes humain, mais pas dénué de conséquences. “Cela peut devenir un problème lorsque la dépense régulière de grosses sommes est associée au bonheur”, explique Olivia Dornan, thérapeute, à Stylist.
Et même dans une moindre mesure, les dépenses émotionnelles grignotent de nombreux portefeuilles… et peuvent devenir un réflexe malsain pour “faire face” - en surface - aux problèmes du quotidien.
Pour Planet, Maeva, créatrice du compte Instagram “Mon Budget Bento” (et autrice du livre Mon Budget Sur Pilote Automatique), bourré d’astuces pour mieux gérer son argent et son épargne, il existe toutefois quelques moyens d’éviter ses frais, sans toutefois négliger sa santé mentale. Découvrez-les dans notre diaporama !