D'ici 2100, la température moyenne dans le nord de la France sera comparable à celle de la région de Montpellier actuellement. La faute au réchauffement climatique.
En vacances avec sa fille Eleanor à Aix-en Provence, Christophe Lambert a accordé une interview à Paris Match dans laquelle il se livre sans tabou, ou presque. S'il ne veut pas parler de sa rupture avec Sophie Marceau, "c'est trop privé" dit-il, il aborde en revanche d'autres sujets douloureux : la mort de son frère il y a bientôt trois ans, décédé d'un cancer des os, ou encore l'enfer de l'alcool, un penchant destructeur contre lequel il se bat depuis des années.
"Boire est un besoin"
"Je ne bois pas pour fuir un mal-être" explique-t-il. "Boire est un besoin, un faux bien-être car le plaisir devient un manque. Je ne supporte pas cette condition. Je sais exactement ce que je fais, où je vais, mais il n’y a pas de raisons. Donc, j’ai mis un terme à cette addiction" a confié l'acteur. Un chemin long et difficile, sur lequel il a chuté de nombreuses fois. "La plupart du temps, je me contrôle. Mais, parfois, je dérape. J’ai commencé à me poser de vraies questions à partir de 42 ans. Je me levais la nuit pour boire. Des spécialistes m’ont expliqué qu’il fallait me sevrer totalement. Pendant trois ans, je n’ai pas touché une goutte d’alcool. Et, un soir, je replonge. De nouveau les mêmes médecins. Le sevrage est costaud. Ce sont les trois ou quatre premiers jours qui sont les plus difficiles" explique-t-il.
"J’ai dû me sevrer une dizaine de fois ces quinze dernières années"
A chaque fois, c'est la même chose avoue Christophe Lambert. Pourtant, à plusieurs reprises, il rechute et finit par retourner vers ses vieux démons. "J’ai dû me sevrer une dizaine de fois ces quinze dernières années. Je connais le mécanisme". Depuis quelques temps pourtant, il avoue tenir le coup. "Je n’ai pas bu une goutte d’alcool depuis un moment. Je suis en pleine forme. Pourquoi y retourner ?" A 58 ans, l'acteur a en tout cas des projets et s'est lancé dans une nouvelle aventure : celle d'hôtelier. Christophe Lambert est en effet propriétaire du Pigeonnet, un hôtel de luxe qu'il a acheté avec deux amis.