La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Sommes-nous dans le meilleur scénario, avant que le pire arrive ? Si la France n'a pas fait face à une flambée des cas au début de l'année, elle n'est pas pour autant sortie d'affaire. Le plateau haut entamé il y a plusieurs semaines ne baisse pas et le nombre de contaminations augmente chaque jour de 20 000 à 26 000 nouveaux cas, ce qui reste un chiffre très élevé. Plusieurs médecins ont tiré la sonnette d'alarme ces derniers jours, affirmant que la situation allait empirer dans les deux prochains mois avec la circulation du variant.
Coronavirus : deux mois difficiles à venir ?
Invité sur BFMTV ce lundi 8 février, le professeur Arnaud Fontanet, membre du Conseil scientifique, affirme que "les semaines qui viennent seront décisives" pour l'épidémie car c'est le variant anglais, plus contagieux, qui "va dicter la marche à suivre" et donc la mise en place de nouvelles restrictions sur le territoire. Les mois de mars et d'avril seront les plus difficiles selon lui, notamment en terme de contaminations et d'hospitalisations, y compris en réanimation.
Une fois encore, tous les territoires ne font pas face à une circulation du virus équivalente, puisque certains continuent de mieux s'en sortir que d'autres. C'est notamment le cas des quatre départements de la région Bretagne, qui affichent les taux d'incidence les plus bas, avec la Corse-du-Sud. D'autres semblent ne plus s'en sortir, à l'image des Alpes-Maritimes ou du Nord. Partout ailleurs, le taux d'incidence oscille entre 150 et 250, sous le seuil d'alerte maximale. Au contraire, certains départements enregistrent toujours plusieurs centaines de nouveau cas au quotidien, lesquels ? Découvrez-le dans le diaporama ci-dessus.