Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Tout le monde n’a pas forcément un job de rêve. Selon une étude publiée par le groupe Randstad en avril 2019, 18% des Français ne perçoivent pas le sens ou l’utilité de leur emploi. Il apparaît en effet qu’un nombre important de salariés ne trouvent ni satisfaction ni épanouissement dans leur milieu professionnel.
La plateforme de recherche d’emplois Choose my company a donc décidé de publier le classement des métiers les plus détestés des Français, en partenariat avec Les Echos. L’étude se fonde sur la proportion de salariés se déclarant épanouis par leur travail.
Classement des pires métiers : clercs de notaire, enseignants et policiers ont mauvaise presse
200 000 personnes employées dans 7500 entreprises différentes ont été interrogées pour les besoins de ce classement.
En tête du palmarès, c’est le métier de clerc de notaire qui récolte le plus faible taux de satisfaction, avec seulement 13% des sondés se déclarant heureux et motivés. Sorte d’assistants des notaires, les clercs sont chargés de rédiger les actes notariés et de constituer les dossiers.
En deuxième et troisième place, on trouve les métiers d’enseignant (21%) et d’agent de police (23%). Ces deux métiers sont en effet confrontés à des conditions de travail difficiles. Les actes de violence envers les enseignants se sont ainsi multipliés ces dernières années. En octobre 2018, une enseignante de Créteil avait été braquée par un élève au moyen d’une arme factice, rappelle Le Parisien.
Victimes eux aussi d’actes de violence, les sapeurs-pompiers ne récoltent que 38% d’épanouissement. Le 10 septembre 2019, une équipe de sapeurs pompiers en intervention dans le quartier de Kermoysan, à Quimper, avaient essuyés des jets de pierres et de projectiles, rapporte France3. Le classement comporte également les métiers d’opérateur de qualité (29 %), analyste ERP (30 %), employé de nettoyage (32 %) et enfin, consultant en communication (34 %).