La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Un vent de contestation dans l'air. Entre inflation galopante et épineuse réforme des retraites, l'heure est au mécontentement en France. Pour les fêtes de fin d'année, le scénario "noir" d'un mouvement social de grand ampleur est définitivement écarté. Pour Noël comme pour le Nouvel An, les grèves devraient être modérées.
Seulement voilà : les syndicats travaillent déjà à de plus importantes mobilisations dès début 2023, pour contrer, entre autres, la réforme des retraites que le gouvernement entend présenter au 10 janvier. Au micro de franceinfo, Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, prévient : "Il y a déjà des préavis qui sont déposés pour le mois de janvier dans les professions où c’est obligatoire".
Recul de l'âge légal de départ à la retraite, suppression des régimes spéciaux, salaires trop faibles, pénurie de personnel... Les raisons qui poussent les salariés à la grève sont multiples. Quels sont les principaux secteurs qui risquent d'être immobilisés en 2023 ? On fait le point dans notre diaporama ci-dessous.
Grèves dans les transports : ce qui est prévu à Noël
Si le scénario du pire a été évité dans les transports pour les fêtes de fin d'année, quelques perturbations seront toutefois à prévoir. En raison d'une grève des contrôleurs, seuls deux trains sur trois circuleront pour le week-end de Noël. "Environ 200 000 personnes ne devraient pas pouvoir voyager, sur les 800 000 prévues dans les trains ce week-end", précisent nos confrères de Sud Ouest. Les personnes concernées sont invitées à avancer leur départ quand c'est possible.