
Dans le cadre de l’enquête sur la mort du petit Émile, le van de son grand-père, Philippe Vedovini, a été minutieusement fouillé par les enquêteurs avant d’être restitué. Le corps du petit garçon a-t-il...
"La doctrine doit évoluer". Lors d’une conférence de presse ce samedi 21 mars 2020, le ministre de la Santé a indiqué vouloir multiplier les tests" contre le Covid-19. S’il défend la stratégie passée de la France en matière du dépistage du coronavirus, "l'enjeu, c'est d'être en mesure de multiplier les capacités de tests au moment où nous lèverons le confinement", a-t-il déclaré. "Nous devrons vérifier, pour les personnes pour lesquelles il y avait un doute, si elles présentaient ou non la maladie", rapporte BFMTV.
Comme le précise le gouvernement via sa page dédiée au Covid-19, "les patients présentant des signes de COVID-19 ne sont plus systématiquement classés et confirmés par test biologique (RT-PCR SARS-CoV-2) ".
Olivier Véran l’a d’ailleurs répété : le dépistage nécessite la mobilisation d’importantes ressources", en termes de professionnels ou de réactifs pour les réaliser. C’est pourquoi il n’est, à l’heure actuelle, pas "automatique" mais réservé, comme dans "la plupart des pays", à "des publics prioritaires".
Voici lesquels :
"Testez, testez, testez". Lors de son intervention, le ministre de la Santé a cité le directeur général de l’OMS qui a délivré ce "message simple".
Il a ainsi reconnu que "la doctrine d’usage raisonné des tests doit évoluer".
"La France doit donc désormais suivre cette voie et se préparer à faire évoluer rapidement sa stratégie de dépistage." Il atteste également que le gouvernement travaille avec "l’ensemble des industriels en France comme à l’étranger pour augmenter ses capacités de test dans les plus brefs délais".