Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Agent municipal, policier, vendeur de fruits et légumes... Aujourd'hui, les escrocs redoublent d'imagination pour vous soutirer de l'argent, et n'hésitent pas à usurper l'identité d'entreprises ou de métiers pour vous endormir. Considérées comme des proies faciles, les personnes âgées sont malheureusement les premières victimes des stratagèmes des malandrins, d'où l'importance de sensibiliser son entourage à leurs pratiques peu scrupuleuses. Cap Retraite, plateforme d'accompagnement pour les seniors, nous a listé les arnaques qui touchent le plus facilement les retraités, tout en nous fournissant les astuces à connaître pour les avertir. Découvrez les 6 ruses les plus fréquentes dans notre diaporama ci-dessous.
"Les personnes âgées sont vulnérables aux escrocs en tout genre pour au moins deux raisons", selon Cap Retraite. Les voici :
- "Elles présentent souvent des problèmes cognitifs qui altèrent leur jugement ou elles sont souvent seules, la solitude peut potentiellement les rendre plus crédules. A fortiori si la personne âgée est dépendante et isolée socialement", note Julie S., cheffe d'équipe des conseillers.
- "De plus, les personnes âgées ne sont pas nées dans l'avènement des nouvelles technologies, comme c'est le cas pour les jeunes générations. Leur manque de connaissance concernant ces outils peut aussi jouer en leur défaveur dans la mesure où elles ou ils ne maitrîsent pas assez bien ces outils pour distinguer un mail frauduleux par exemple, ou n'ont tout simplement pas le réflexe de vérifier la véracité de ce qu'on leur présente", poursuit-elle
Quand peut-on parler d'abus de faiblesse ?
Dans certains cas, l'arnaque peut être considérée comme un abus de faiblesse. "Les tribunaux français ont adopté certains critères supplémentaires favorisant les arnaques : l’âge, du veuvage, de l’isolement, de la maladie, du handicap, de la méconnaissance de la langue française, du faible niveau d’instruction, de la détresse économique", énumère le site spécialisé.