La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
En pleines négociations, l’Agirc-Arrco va voir ses règles évoluer d’ici les prochaines semaines. Parmi la liste des décisions qui posent problème, le sort du malus réservé aux personnes qui partent au moment d’atteindre l’âge légal est une question déterminante. Pour l’heure, il s’agit d’une minoration de la pension complémentaire pendant trois ans de 10% (ou 5% si vous bénéficiez d’un taux réduit de CSG). Quelles sont les pistes qui restent à évoquer pour son avenir ?
Retraite complémentaire : des conditions qui évoluent
Alors que la réforme des retraites vient d’être mise en application, l’Agirc-Arrco a l’obligation de redéfinir certaines de ses spécificités. Ces nouvelles conditions seront ainsi valables de 2023 à 2026 avec, en ligne de mire, une abrogation du malus de 10%. Sous les effets de la réforme des retraites, cette suppression a été réclamée afin de soulager les retraités qui subissent cette situation et travaillent un an de plus pour y échapper. Avec le relèvement progressif de l’âge légal de départ, il faudrait donc désormais partir à 65 ans pour éliminer le malus.
Retraite complémentaire : le malus va-t-il disparaître ?
À l’heure actuelle, la disparition du malus fait partie des options traitées durant les réunions. Si la situation du régime était difficile dans les années 2010, elle est aujourd’hui florissante avec un excédent de 5 milliards d’euros. Un excédent d’un milliard par an est même espéré dans les quinze ans à venir. Avec la suppression du malus, ce serait la moitié de ce bénéfice, qui pourrait finalement être absorbée. Pour le reste, l’Etat souhaiterait que l’Agirc-Arrco puisse apporter une aide financière dans ce contexte. Découvrez, dans notre diaporama, quelles sont les cinq pistes actuellement possibles.