![](/files/styles/pano_m/public/images/article/2/5/1/2967152/vignette-focus.jpg?itok=ig_Ux4hC)
INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
C’est un coup de pouce utile, sinon proprement indispensable. La pension de réversion, dont Planet a d’ores et déjà eu l’occasion d’expliciter le fonctionnement à maintes reprises, permet à bien des retraitées de percevoir jusqu’à 54% des droits auxquels un conjoint décédé pouvait prétendre. A condition, bien sûr, de pouvoir justifier d’un certain nombre de conditions — de ressources, notamment. Et de ne pas oublier de la demander ! A l’inverse d’autres prestations sociales, la réversion n’est pas automatique. Malheureusement, il a parfois pu s’avérer complexe de l’exiger… puisque l’époux décédé a potentiellement cotisé auprès de différents régimes. Est-ce encore le cas aujourd’hui ? Récapitulatif.
Pour réclamer sa pension de réversion auprès du régime de base, indique l’Assurance retraite sur son site, il faut se connecter à son espace personnel et cliquer sur la rubrique “Demander une retraite de réversion”. C’est à ce moment-là qu'il est nécessaire formellement remplir le formulaire demande de réversion, puis il revient à l’administration de traiter le dossier.
Dans le détail, il faut déposer l’imprimé unique de demande de réversion directement “auprès du dernier régime d’affiliation du conjoint décédé” et ce même s’il y en a eu plusieurs : c’est l’organisme qui se charge alors de transmettre les informations à tous les autres régimes concernés. Ce document présente un avantage conséquent : il est utilisé pour l’intégralité des demandes précédemment évoquées.
La plupart des régimes de retraite complémentaire plafonnent la réversion à 60% des droits du conjoint décédé.
Découvrez encore plus d'actualités, en vous abonnant à la newsletter de Planet.
Votre adresse mail est collectée par Planet.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.