10 idées de reconversion pour Nicolas Sarkozyabacapress
En cas de défaite à l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy a parlé d'abandonner la vie politique. Et au cas où il ne saurait pas encore quoi faire après, voici nos 10 propositions.
Sommaire

Avocat

Avocat de formation, Nicolas Sarkozy dispose d'une Maîtrise de droit privé (1978) et du Certificat d'aptitude à la profession d'avocat (1981). Profession qu'il a notamment exercée en créant son propre cabinet " Leibovici - Claude - Sarkozy " en 1987.

Rebaptisé aujourd'hui C laude & associés, il est quasi certain que le cabinet lui tendrait les bras en le voyant revenir aux sources et toquer à sa porte.

D'autant que Nicolas Sarkozy en a sans doute encore appris sur la justice à travers l'affaire Woerth-Bettencourt, celle des "fadettes" ou encore le dossier Karachi…

Fleuriste

Moins connu que son précédent métier d'avocat, encore avant, Nicolas Sarkozy a aussi été fleuriste.

Vidéo du jour

En septembre dernier, Carla Bruni témoignait de ses compétences en la matière sur la radio britannique BBC : "Quand je l'ai rencontré, marchant dans les jardins de l'Elysée, il me donnait tous les noms des fleurs.  Il connaît même leurs noms latins, et les détails sur les tulipes et les roses. Je me suis dit : mon Dieu, je dois épouser cet homme, il est le président et il connaît aussi tout des fleurs. C'est incroyable. " 

Commandant de bord

On a encore en tête le séjour de Sarkozy sur le Yatch de son ami Vincent Bolloré au lendemain de son élection présidentielle. Se désignant à présent, en vue des prochaines élections, comme un vieux loup de mer bonnement expérimenté, ou encore capitaine à ne pas changer durant la tempête, Nicolas Sarkozy pourrait, toujours en cas de naufrage politique, mettre véritablement les voiles sur un luxueux bateau. D'autant que son affiche de campagne, remplie d'eau salée à l'horizon, porte déjà en elle des allures de croisière. 

Père au foyer

Papa d'une petite Giulia depuis le 19 octobre, et ayant "cette fois-ci une famille, une famille solide" comme il le disait récemment sur France 2, Nicolas Sarkozy aurait de quoi s'occuper à la maison.

Carla Bruni, dégagée du protocole présidentiel, pourrait de nouveau se consacrer à la chanson en reprenant ses tournées, tandis que Nicolas garderait leur fille. Voilà qui aurait de quoi changer, aussi, les idées reçues sur la parité homme-femme au sein du couple.

Patron de presse

Enfant de la télé, on le sait, Nicolas Sarkozy aime la presse et les médias. Dans tous les sens du terme ! En témoigne ses nombreux amis propriétaires de tété, radio ou journaux… Comme Arnaud Lagardère (Paris Match, Europe 1…), Martin Bouygues (TF1, LCI, Metro…), Serge Dassault (Le Figaro), Vincent Bolloré (Direct8, Direct matin…), etc.

De plus, Nicolas Sarkozy nomme à présent directement, depuis sa réforme et en tant que Président de la République, les patrons de l'audiovisuel public (France télévisions, Radio France). Autant d'éléments laissant songer qu'un poste de patron de chaîne, serait le bienvenue pour Sarkozy s'il n'a pas à rempiler pour cinq ans à l'Elysée.

Manager de stars

Nicolas Sarkozy, ami des vedettes et grand adorateur de Johnny Hallyday pourrait devenir manager de stars. Et pour mener à bien son affaire, il aurait déjà non pas un mais trois artistes de premier choix sous la main : sa femme Carla, la chanteuse ; son fils Mosey, le rappeur ; et son père Pal, le peintre…

Rolex boy

A quel meilleur ambassadeur pourrait rêver la marque Suisse ? La Rolex du président, qui avait fait beaucoup parler d'elle en début de mandat (avant qu'il ne la retire), pourrait revenir s'afficher sans complexe au bras de son propriétaire.

Embrassant une nouvelle carrière de mannequin vedette sponsorisé, pour laquelle il serait briefé par sa femme, Nicolas Sarkozy poserait alors à Saint-Barth, Ray-ban dans les cheveux, et une montre massive à chaque bras. Avec un slogan évidemment tout trouvé par son ami publicitaire Jacques Séguéla : "Si à 50 ans on n'a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie !"

Chocolatier

Grand amateur de chocolats, Nicolas Sarkozy pourrait ouvrir sa propre boutique. Proche du peuple, du travailler plus pour gagner pour gagner plus, de la France qui se lève tôt... Cela donnerait aussi au candidat déchu un espace de créativité dans lequel il pourrait mettre à profit son expérience : chocolats à son effigie, morceaux en forme de l'Elysée, carrés bleu-blanc-rouge…  le tout avec dorures par-dessus, ça va de soi.

Postier

Nicolas Sarkozy ne cache pas sa passion pour la philatélie. Passion qui lui prit depuis son plus jeune âge, comme il l'écrit dans cette lettre adressée à la presse spécialisée dans le genre. Pour permettre au président de retrouver au quotidien cette "ouverture sur le monde" mais aussi ce "loisir" quoi de mieux qu'un poste de facteur ! D'autant que Nicolas Sarkozy connaît déjà parfaitement certains secteurs, comme Neuilly, où il pourrait alors aller remettre (et non pas chercher !) des enveloppes chez les Bettencourt.

Retraité

Tout simplement retraité. Certes 57 ans, cela est bien loin du 62 ans, établi avec fracas par Sarkozy en 2010, pour partir à la retraite.

Cependant, les anciens présidents de la République bénéficient d'une pension de retraite qui n'est soumise à aucune condition d'âge, ni de durée de services ou de mandat.

D'un montant de 63.000 euros brut par an, cette pension peut être notamment cumulée  avec celle reçue en tant que membre de droit du Conseil constitutionnel (environ 13 000 € brut par mois)… Soit un total avoisinant les 18 000 euros par mois…