SociétéAssurance chômage: ces nouvelles règles pénalisantes pour les seniors
De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
abacapressLa démission de Gabriel Attal a été acceptée par Emmanuel Macron le mardi 16 juillet au soir, la question du futur locataire de Matignon reste donc en suspens. Du côté du NFP, ils se sont mis d'accord pour une candidature unique.
Coup de théâtre ! Emmanuel Macron a accepté la démission de Gabriel Attal, le mardi 16 juillet en fin d’après-midi. En attendant, le gouvernement restera en place pour gérer “les affaires courantes” le temps d’en former un nouveau.
Au cours de la soirée, des syndicats, associations et personnalités qui s’étaient mobilisés contre l’extrême droite pendant les législatives ont signé une tribune dans le Monde, au sein de laquelle ils demandent de prendre une décision, estimant qu’”il n’y a plus de place pour les ego ou les intérêts partisans”.
Alors que la formation du gouvernement reste encore à déterminer, les différents partis de gauche n’avaient jusqu’ici pas réussi à se mettre d’accord sur le nom d’un hypothétique Premier ministre. Laurence Tubiana, Marine Tondelier, Huguette Bello… le NFP se déchire toujours pour choisir un nom.
“Nous sommes d’accord pour une candidature unique”
Au micro de LCI, Olivier Faure a annoncé que le NFP s’est mis d’accord sur une candidature unique pour la présidence de l’Assemblée nationale. "Nous sommes d'accord pour une candidature unique au perchoir (...) je ne donnerai pas de nom à ce stade", a-t-il annoncé.
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Marine Tondelier “écoeurée”
De son côté, Marine Tondelier a réagi, se disant “en colère, écoeurée”, “fatiguée” et “désolée du spectacle” que le Nouveau Front populaire "donne aux Françaises et aux Français", a-t-elle affirmé ce mercredi 17 juillet sur France 2. La secrétaire nationale des Écologistes-EELV pointe du doigt la guerre de leadership et la responsabilité des socialistes et des communistes dans cette impasse, puisque le PS a refusé la candidature d’Huguette Bello et Laurence Tubiana, proposée par le PS, EELV et le PCF pour Matignon a été refusée par LFI.
“On est en train de fabriquer du vote RN”
"On dit gnagnana Huguette Bello, gnagnagna Laurence Tubiana, mais on va se retrouver avec Laurent Wauquiez en fait", a mis en garde la secrétaire nationale des Écologistes. "Chaque heure, chaque minute de ridicule qu'on offre (...), on est en train de fabriquer du vote RN et ce ne sera pas la peine de venir me chercher avec ma veste verte en 2027 entre les deux tours pour dire 'Au secours, il faut un front républicain'", a prévenu Marine Tondelier. "On ne peut pas susciter l'espoir et décevoir autant."
“Si on attend la pureté de la solution qui est idéale pour chacun, on ne la trouvera pas”
L'écologiste a lancé un appel à la reprise immédiate des négociations arrêtées "depuis plusieurs jours". "Avec les communistes, on a mis d'exclusive sur aucun nom. Un insoumis, ça nous va. Un socialiste, ça nous va. Un communiste, ça nous va. Un écologiste, ça nous va. La société civile, ça nous va", affirme-t-elle. "Si on attend la pureté de la solution qui est idéale pour chacun, on ne la trouvera pas", a-t-elle jugé. "Les gens, ils savent qu'on n'a pas la majorité absolue, mais on leur doit de tout donner. Et là, en ce moment, on ne donne pas tout", regrette encore la secrétaire nationale du parti.
