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La rupture entre Valérie Trierweiler et François Hollande a été houleuse. On se souvient notamment du communiqué froid transmis par le président à l’AFP, puis du livre-bombe de l’ancienne Première dame dans lequel elle a tenté de régler ses comptes. Renaud Dely et Henry Vernet ont récemment rapporté de nouveaux éléments attestant des conditions difficiles dans lesquelles l’ex-couple présidentiel s’est séparé.
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"Elle lui envoyait au visage tout ce qu’elle trouvait"Dans leur livre L’Hyperviolence en politique, les frères ennemis sorti la semaine dernière, les deux journalistes racontent qu’après la parution du fameux numéro de Closer révélant sa prétendue relation avec Julie Gayet, François Hollande a tenté de rompre calmement avec Valérie Trierweiler. Il l’a ainsi faite venir dans son bureau à l’Elysée pour définir les termes de leur séparation. Mais rien ne s’est passé comme prévu. La journaliste de Paris Match n’a pas su rester calme en apprenant la décision du président et "l’a poursuivi dans les couloirs", écrivent les deux auteurs citant une proche de l’ex-couple, rapporte L’Obs qui publie les bonnes feuilles du livre. "Il essayait de la raisonner et elle lui envoyait au visage tout ce qu’elle trouvait, elle l’a griffé et même frappé", peut-on même lire. Une "humiliation de trop" qui aurait ensuite conduit François Hollande à annoncer leur rupture au moyen du fameux "communiqué de répudiation glacial", souligne l’hebdomadaire qui précise aussi qu'après cette violente dispute, Valérie Trierweiler a été hospitalisée.
La folle rumeur autour du mobilier nationalUne révélation que l’Elysée a vite démentie. Sur son compte Twitter, le service communication de la Présidence de la République a en effet publié un message dans lequel elle assure que "contrairement à ce qui est indiqué, il n’y a pas eu de violence ni d’agression en janvier 2014 à l’Elysée". Ce n’est pas la première fois qu’une violente scène de ménage entre Valérie Trierweiler et François Hollande à l’Elysée est évoquée. L’année dernière, le bruit avait couru que la journaliste avait vandalisé des objets appartenant au Mobilier national. Un saccage alors estimé à 3 millions d’euros. Le Mobilier national avait ensuite démenti cette folle rumeur, tandis que le service de communication du chef de l’Etat était cette fois-ci resté silencieux.
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