Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
"La seule attitude à avoir, c’est d’aller les chercher, les arracher même pour leur parler et les convaincre", a estimé mardi François Hollande. Aux quelques lecteurs du Parisien venus l’interroger à l’Elysée, le chef de l’Etat a en effet expliqué comment il souhaitait inversé la tendance donnant le Front National en tête des prochaines élections départementales. "Car si le FN est dans la République, puisqu’il participe aux élections, c’est tout sauf le parti de la République", a-t-il également affirmé. Selon lui, "ses propositions sont autant de reculs pour notre pays et pour ses électeurs
A lire aussi -François Hollande : sa chienne, Philae, provoque "un drame" à l'Elysée
Une "surenchère dans la violence des mots"
Une stratégie mais surtout, des termes, vivement critiqués par Marine Le Pen. "Quand on est président de la République, on doit arracher les Français à la misère, au chômage, à l’insécurité, on doit les arracher au fondamentalisme islamiste et on ne doit pas être chef de parti", a-t-elle estimé au micro d’i
A lire aussi -François Hollande : un troisième remaniement après les départementales
Les propos de François Hollande n’ont pas seulement piqué Marine Le Pen, ils ont également fait réagir Nathalie Kosciusko-Morizet. "Il n’arrache pas grand-chose, François Hollande", a raillé la vice-présidente de l’UMP au micro de RTL.