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Discret depuis sa défaite face à François Hollande, Nicolas Sarkozy est sorti de son silence ce jeudi. Dans le train qui l’emmenait à La Rochelle où il devait remettre une décoration au maire de Châtelaillon (Charente-Maritime), l’ancien président n’a pas hésité à commenter la "love affair" de celui qui a pris sa place à l’Elysée. "Quand on est président, on a un devoir", a-t-il en effet commenté avant d’ajouter à propos de ce qui s’est passé entre le président et son ex-compagne : "c’est triste".
"Je parlerai, oui mais le jour où il faudra parler"Outre ce petit commentaire à propos des affaires sentimentales de François Hollande, Nicolas Sarkozy a également profité de son voyage en TGV pour évoquer son éventuel retour en 2017. Et alors que celui-ci s’apparente désormais à un secret de polichinelle, l’ancien chef de l’Etat, qui n’a toujours rien confirmé, a expliqué que "ce sont les Français qui décideront". Quant au moment où il pourrait décider de revenir au centre de l’arène, l’ex-locataire de l’Elysée a estimé : "la confiance nécessite du temps. Je ne renie pas 35 ans de vie politique. Je parlerai, oui mais le jour où il faudra parler". Selon lui, "ce n’est pas en s’agitant que l’on maintient le lien" avec les Français. "J’ai besoin de calme, de distance et de recul", a-t-il indiqué.
A propos de ses relations avec François Fillon sont tendues depuis plusieurs mois, Nicolas Sarkozy a tenu à souligner l’origine de leur différend. "A ma connaissance, ce n'est pas moi qui ait que j'avais souffert avec lui. Je n'oblige personne à me voir". Celui-ci a par ailleurs affirmé : "Je reste attaché à ma famille politique et je comprends les difficultés du moment".
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