De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Pluies, neiges, gelées… La saison froide apporte son lot d’intempéries et un air humide risque de s’infiltrer dans votre logement. En France, près d’un foyer sur quatre serait touché par des problèmes d’humidité, selon l’organisme de qualification et certification du BTP Qualibat, qui peuvent être liés à des murs poreux, une trop faible aération ou encore une mauvaise isolation.
D’après la filiale d’EDF Sowee, "le taux d’humidité idéal en France en été va ainsi de 40 à 65% alors qu’en hiver, on le préfère autour de 50%." Mais comment savoir si l’hygrométrie de votre logement est trop élevée ? Parmi les signes qui doivent vous alerter, on trouve notamment la condensation importante sur les vitres, la présence de moisissures, l’écaillage des peintures ou les papiers peints qui gondolent. En plus d’être néfaste pour votre logement, un taux d’humidité trop élevé peut également avoir des conséquences négatives sur votre santé.
Quelles répercussions sur la santé ?
Les risques sur la santé peuvent être importants, notamment chez les jeunes enfants, indique le spécialiste de l’humidité Murprotec. Favorisant la présence des acariens, l'humidité peut provoquer des allergies, des bronchites ou des rhinites, mais aussi aggraver des problèmes respiratoires existants. En outre, les moisissures peuvent entraîner des maux de tête, de la fatigue, une irritation de la gorge et de la peau, voire de l’asthme.
Alors comment faire face à une hygrométrie trop élevée ? Découvrez dans notre diaporama sept astuces pour réduire le taux d’humidité de la maison en plein hiver.