Faut-il croire… aux malédictions ?©Getty Images
Est réputé maudit quelqu'un que des malheurs frappent sans cesse, ou plus souvent que le commun des mortels…

De la malédiction de la tartine beurrée, qui termine le plus souvent face contre terre (dans 62% des cas), à celle qui frappa la famille des Atrides, puis celle des Kennedy, le thème de la grande poisse traverse toutes les époques.

Par malédiction, il faut comprendre la prière ou invocation qui appelle l'infortune sur une personne, un lieu, une chose, un clan, une série, etc.

Ainsi, en musique, la composition d’une neuvième symphonie est censée attirer la mort. Beethoven, Bruckner et Spohr, furent foudroyés après avoir écrit leur "neuvième". Afin de tromper le destin, le musicien autrichien Gustav Malher décida de passer directement de sa huitième à sa dixième symphonie pour éviter le chiffre 9. Le destin ne fut pas dupe et il mourut avant de l’achever.

Autre malédiction implacable, celle qui frappa les archéologues ayant participé à l’ouverture de la tombe de Toutankhamon (8 morts en 4 ans) ou, celle de Thomas Busby. Avant d’être pendu, ce criminel anglais déclara que quiconque s’assiérait sur sa chaise favorite après sa mort décéderait brutalement. Les 5 personnes qui tentèrent l’expérience périrent de façon atroce. Depuis, la chaise est pendue dans un musée à 2 mètres du sol.

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Plus récente, la malédiction de la Momie d’ötzi, un homme des neiges dont le corps fut rendu par un glacier en 1991 dans les Alpes, aurait provoqué 7 morts, à commencer par celle de celui qui la découvrit, du guide partant à sa recherche, du scientifique qui l’étudia…

Comment échapper à une malédiction ? Selon certaines superstitions, le fait de casser du verre blanc ou de marcher du pied gauche dans une crotte de chien permettrait de rompre avec le malheur. A vous de choisir l’option qui vous convient le mieux.