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Le décès d’un proche constitue toujours une étape difficile. Souvent, elle l’est d’autant plus qu’elle s’accompagne d’un certain nombre de formalités administratives. Il y a, bien sûr, la question de la succession - laquelle est souvent bien connue des contribuables. Ceci étant dit, il y a aussi celle de la fiscalité avec laquelle ils s’avèrent peut-être moins familiers. En effet, chaque trépas doit être signalé à l’administration fiscale, rappelle le site spécialisé Tout sur mes finances. Dans la plupart des cas, c’est au conjoint survivant qu’il revient de le faire, à l'occasion de sa déclaration de revenus et de charges de l’année durant laquelle a sonné le glas. Ceci étant dit, quand le défunt était célibataire - qu’il soit divorcé, veuf ou simplement jamais engagé - ce sont ses héritiers qui doivent s’occuper de déclarer. Mais comment s’y prendre au juste ?
Impôts : comment déclarer un décès ?
Pour déclarer un décès, il est possible de s’y prendre de deux façons. La première consiste à se connecter sur son espace personnel depuis le site des impôts. En rubrique “gérer mon prélèvement à la source”, il est possible de signaler un changement de situation de famille directement en ligne.
Autrement, il faut alerter l’administration à l’aide du formulaire dedéclaration de revenus n°2042 K, le plus souvent pré-rempli. Il est aussi possible, pour celles et ceux qui bénéficient des dispositifs de déclaration automatique, de passer par le formulaire n°2042 K AUTO.
Si le défunt était votre conjoint ou un partenaire de Pacs, il faudra alors remplir deux déclarations.