
Les Occitans connaissent bien ce vent qui souffle fort et pendant longtemps. Dans la région, il est souvent surnommé "le vent qui rend fou".
C’est l’étape incontournable qui suit toujours - ou presque - le décès d’un proche. La succession, si douloureuse puisse-t-elle s’annoncer, s’avère très souvent inévitable (quand bien même il demeure possible de la refuser). En outre, elle est quasiment systématiquement payante : il faut rémunérer le notaire et s’acquitter des éventuels droits de succession sur les biens légués. Dans les faits, précise cependant la banque Boursorama sur son site d’information, l’intervention de ce dernier n’est théoriquement pas toujours obligatoire. Il est interdit de ne pas lui faire appel que dans les cas suivants :
Les tarifs des notaires, explique encore la banque, sont en grande partie de frais fixes et réglementés. On parle alors d’émoluments. Du reste, les tarifs non réglementés sont fixés par les notaires eux-mêmes et varient en fonction d’un prestataire à l’autre. Sachez également qu’un taux de TVA de 20% est d’ores et déjà appliqué sur les émoluments à payer. En outre, ils dépendent pour partie de la valeur du bien.
En cas doute, il est donc possible de se référer au barème accessible depuis le site du service public.
Ainsi, un acte de notoriété vous coûtera 69,23 € TTC tandis qu’un inventaire sera facturé 92,31 € TTC.
En outre, c’est sans compter les éventuels droits qu’il faudra aussi payer et dont le notaire fournit rapidement une première estimation ; affinée par la suite.