De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Une étude réalisée par des chercheurs de la Texas A&M University, repérée lundi par le site Slate.fr, s’intéresse aux effets que produisent les mails professionnels reçus en dehors du travail sur notre vie privée. Et les effets peuvent parfois être négatifs.
L’étude, portant sur 341 salariés sur une période de sept jours, montre que 21% de ces mails envoyés en dehors des heures du travail sont transmis par les supérieurs, 41% par des collègues, 22% par des clients et enfin 16% par des subordonnés.
Des mails qui ne sont évidemment pas toujours positifs. "Il y a eu des preuves évidentes que les contenus positifs dans les mails généraient de la joie et que les contenus plus négatifs engendraient de la colère. Cependant, la colère avait plus de chance de se déverser dans la vie personnelle des gens et d’interférer avec leurs pensées et leur comportement", explique le chercheur Marcus Butts, co-auteur de l’étude, cité par Slate.fr.
Envoyer des mails encourageants
Ainsi, les mails encourageants envoyés à n’importe quelle heure ou ceux demandant une tâche sans trop d’importance, ne seront pas vus d’un mauvais œil par le salarié. Mais au contraire, si un employé n’apprécie pas le comportement trop autoritaire de son chef, alors n’importe quel mail envoyé par celui-ci ou par des collègues le mettra en colère.
Sans grande surprise, les chercheurs conseillent donc aux employeurs que les mails qu’ils envoient en dehors des heures de travail soient encourageants.
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